„Fake News“ bilden seit Menschengedenken ein zentrales Problem für die individuelle und öffentliche Meinungsbildung. Dabei wird die Wirkung verbreiteter Desinformation heutzutage durch die technischen Möglichkeiten im Bereich der Online-Kommunikation, etwa durch die Echokammern in sozialen Netzwerken oder den Einsatz künstlicher Meinungsverstärker, mitunter noch verstärkt. Effekte von einmal geäußerter Desinformation lassen sich aus kognitionswissenschaftlicher Perspektive nur noch sehr schwer korrigieren. Die Arbeit beschäftigt sich daher mit dem (kommunikations-)grundrechtlichen Schutz von „Fake News“ in der Online-Kommunikation anhand der Rechtsprechung des Bundesverfassungsgerichts, des Europäischen Gerichtshofs für Menschenrechte und einer erkenntnistheoretischen Ansicht unter Berücksichtigung neuerer Kommunikationsmodalitäten wie der Inhaltsvermittlung in sozialen Netzwerken und Videosharing-Diensten sowie der Äußerungsverbreitung mithilfe von „Social Bots“. Nach der Beschreibung des verfassungsrechtlichen Regulierungsrahmens der Verbreitung von „Fake News“ widmet sich die Arbeit ihrer Regulierung in Deutschland de lege lata. Im Schwerpunkt erläutert und evaluiert die Arbeit zum einen die bestehende Regulierung von „Social Bots“ nach dem Medienstaatsvertrag (MStV) unter Berücksichtigung des höherrangigen Rechts. Zum anderen erörtert und evaluiert die Arbeit die Regulierung von sozialen Netzwerken und Videosharing-Diensten anhand des jüngeren Digital Services Acts (DSA) im Vergleich zum Netzwerkdurchsetzungsgesetz (NetzDG) und weist auf kommunikationsgrundrechtliche Spannungsfelder hin. Auf Grundlage der aus den Evaluationen der vorhandenen Regulierung gewonnenen Erkenntnisse und den in Bezug auf die Desinformationsverbreitung beschriebenen verfassungsrechtlichen Maßstäbe gelingt es, Handlungsoptionen für den (deutschen) Gesetzgeber zu formulieren, die den Schutz vor der Einflussnahme von Desinformation auf die individuelle und öffentliche Meinungsbildung im Kontext der „Social Bot“-Kommunikation und der Kommunikation in sozialen Netzwerken sowie Videosharing-Diensten erhöhen könnten.

Les "fake news" constituent depuis toujours un problème central pour la formation de l'opinion individuelle et publique. L'effet de la désinformation répandue est aujourd'hui encore renforcé par les possibilités techniques dans le domaine de la communication en ligne, par exemple par les chambres d'écho dans les réseaux sociaux ou l'utilisation de renforceurs d'opinion artificiels. D'un point de vue cognitif, il est très difficile de corriger les effets de la désinformation une fois qu'elle a été exprimée. C'est pourquoi ce travail traite de la protection des "fake news" dans la communication en ligne au regard des droits fondamentaux (de la communication) sur la base de la jurisprudence de la Cour constitutionnelle fédérale allemande, de la Cour européenne des droits de l'homme et d'un point de vue épistémologique, en tenant compte des nouvelles modalités de communication telles que la transmission de contenus sur les réseaux sociaux et les services de partage de vidéos ainsi que la diffusion de propos à l'aide de "bots sociaux". Après avoir décrit le cadre réglementaire constitutionnel de la diffusion des "fake news", le travail se consacre à leur régulation en Allemagne de lege lata. D'une part, le travail explique et évalue la réglementation existante des "bots sociaux" selon le traité d'Etat sur les médias (MStV) en tenant compte du droit supérieur. D'autre part, le travail discute et évalue la régulation des réseaux sociaux et des services de partage de vidéos à l'aide du plus récent Digital Services Act (DSA) en comparaison avec la loi sur l'application des réseaux (NetzDG) et met en évidence les champs de tension du droit fondamental de la communication. Sur la base des conclusions tirées des évaluations de la réglementation existante et des critères constitutionnels décrits en rapport avec la diffusion de la désinformation, il parvient à formuler des options d'action pour le législateur (allemand) qui pourraient renforcer la protection contre l'influence de la désinformation sur la formation de l'opinion individuelle et publique dans le contexte de la communication "bot social" et de la communication sur les réseaux sociaux ainsi que des services de partage de vidéos.

Publikationstyp: Hochschulschrift

Sparte: Universitätsverlag

Sprache: Deutsch

ISBN: 978-3-86395-603-5 (Print)

URN: urn:nbn:de:gbv:7-isbn-978-3-86395-603-5-3